lundi 1 septembre 2008

The Boogeymen

De retour au boulot après un week-end assez mouvementé...
Léger retour dans le temps : départ jeudi midi pour Bruxelles avec The Man Who, dans le TGV nous rencontrons Why Care et P.S., puis nous devisons comme nous avons coutume de le faire pendant la durée du trajet (court ma foi).
Arrivés à la gare de Bruxelles nous nous engouffrons dans un taxi puis on arrive à l'hôtel où nous sommes censés passer la nuit, mais qui nous sera utile surtout pour répéter et composer une chanson dylanienne en diable.
On se décide ensuite à sortir un peu faire les touristes du côté de la Grande Place (magnifique) et on croise au détour d'un bar à bières le grand Sail on Sailor.
Sur les coups de 19h30 un autre taxi nous emmène à la grande soirée de rentrée d'un magazine TV : petits fours, vedettes de la télé-réalité et champagne à profusion
en seront les ingrédients principaux.
Deux ou trois heures plus tard on doit néanmoins se réveiller et se mettre sur le départ pour Paris : un concert des Boogeymen a lieu le soir-même, à la Mécanique Ondulatoire.
Paris et ses places impossibles à trouver quand justement on a besoin de garer sa voiture pour aller faire la balance.
Mais on retombe sur nos pattes et les réglages se font dans la bonne humeur grâce à la sympathie des ILMN et à l'hospitalité du Maître des Lieux, Fred.

Un kir et un kebab-bousilleur d'estomac plus tard, c'est à notre tour de jouer.
L'endroit est génial, une sorte de Cavern à la française.
Que c'est bon de rejouer en électrique devant des gens !
Je jubile et en fais, pour cette raison, un peu trop, mais qu'importe je m'amuse comme un enfant, et Dieu sait que ça faisait longtemps.
Alors pour marquer le coup je pète une corde.
Les chansons sont rallongées, on medleyise à fond les gamelles (vive l'accouplement contre nature entre "Be my Baby" et "Last Christmas" de Wham! ou de "Stand by me" et "Crocodile Rock").
Il y a de plus en plus de monde et il fait de plus en plus chaud au fur et à mesure que le concert avance, mais à un moment il faut se rendre à l'évidence : nous devons rendre les armes et mettre un terme au concert.
Merci Greedo, Black Mamba et The Man Who.
Merci Tömanager, Stéphane, Fred.
Merci au cafard du kebab.

4 commentaires:

morganlb a dit…

T'arrete d'ecrire des conneries sur mon blog ! Je veux dire, hum, enfin...qui n'a pas couché avec Micky Green ?

T'es dans le coin vendredi ? Vernissage Berthier ?

morganlb a dit…

Non j'aime pas U2 mais j'en suis, certes. J'ai pas le choix, sinon Francois ne relache par mon Bisounours Coeur, sequestré dans une cave de Dammartin-En-Goelle. C'est degueulasse l'Art.

morganlb a dit…

Ok demain j'ecoute Duffy.

morganlb a dit…

Et tu oublies mes preférés : les attachés de presse. Qui pensent pour toi.