Un week-end on the edge.
Comme je les aime ?
Mouais.
On attendait beaucoup de cette Scène Bastille, résultat nous avons été stoppés dans nos élans à 40 minutes tout juste.
Pas moyen de jouer une dernière chanson... Ben oui, faut comprendre, juste après l'endroit se transforme en boîte alors faut vite fait bien fait vider les lieux avant que la bouillie proto-dance et Ibizaïenne investisse l'endroit.
Et puis les retours n'étaient pas les mêmes qu'à la balance, qui elle-même nous a coûté 1 heure dans les bouchons. Et qui n'a donc servi à rien !
Hi hi.
David Copperfield, ce nom ne dit peut-être rien aux plus jeunes, mais bref ce mec était un magicien connu dans les sous-estimées nineties, et puis il a disparu sans laisser de traces (sauf sur Claudia, mais là n'est pas le sujet).
Eh bien mes amis, je peux vous confirmer qu'il bosse à la Scène Bastille, il fait disparaître les retours, les transforme, ou tord la réalité, crée une fissure dans l'espace-temps lorsque les Commoners sont en ville, spécialement pour les emmerder et modifier la perception du bruit qu'ils avaient via ces outils soniques lors de l'inutile soundcheck.
Mais bon.
Des gens étaient là, des gens qu'on apprécie, et ils ont passé un bon moment, donc tout n'est peut-être pas perdu.
Le lendemain, après une courte nuit, rendez-vous nous fut donné au Glazart, pour un brunch dominical du plus bel effet.
Une armée de jeunes gens rock'n roll s'y dandinait, et ce fut un sacré bon moment, où nous honorâmes notre "Pop Song 09" et une chanson des Kinks.
mardi 19 mai 2009
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